LIGNÉE DE JACQUES

Jacques est le plus prolifique des deux frères. En 1686, il épouse, Marie-Anne Charland, fille de Claude et de Jeanne Pelletier. Onze enfants naissent de cette union. Trois décèdent en bas âge et un quatrième à l’âge de 25 ans. Les autres garçons se marient :

Joseph en 1715 avec Geneviève Asselin, fille de Jacques et de Marie Morisset (sept enfants dont deux fils). Devenu veuf, il épouse, en 1730, Françoise Émond, fille de René et de Louise Senelé (sept enfants dont quatre fils);

François en 1726 avec Marie-Louise Bilodeau, fille de Simon et d’Anne Turcot (sept enfants dont un fils);

Claude en 1722 avec Françoise Daniau, fille de Jean et de Françoise Rondeau (une fille), puis en 1724 avec Marie-Marthe Gagné, fille de Jean et de Marie-Madeleine Langlois (deux enfants dont un fils);

Gabriel en 1728 avec Élisabeth Bilodeau, sœur de Marie-Louise (deux filles);

Augustin en 1740 avec Marie-Anne Gaumont, fille de Germain et de Marie Balard (cinq enfants dont un fils).

Qu’est-il advenu des filles ? On ne trouve pas réponse à cette interrogation.

Devenu veuf, Jacques Gendron contracte une seconde union, avec Marie-Madeleine Trudel, fille de Nicolas et de Barbe Letartre. Trois filles naissent de ce deuxième mariage.

LIGNÉE DE PIERRE

Pierre, qui semble avoir pris la relève de son père sur la terre familiale de Sainte-Famille (I.O.), épouse en 1664 Marie Thivierge, fille d’Hippolyte et de Renée Hervé. Le couple met au monde douze enfants tous nés à Sainte-Famille. Hélas, la mort en fauche sept. Les cinq autres, dont deux fils, fondent des foyers :

Nicolas en 1723 avec Marie-Madeleine Ratel, fille de Pierre et de Marie-Antoinette Verger (sept enfants dont trois fils) ;

Joseph en 1725 avec Angélique Baucher, fille de Joseph et de Marthe Lemieux (cinq enfants dont un fils).

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