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Les trois filles deviennent les épouses de jeunes colons nommés Turcot, Fauché et Baucher. DERNIER DÉPART L’ancêtre Nicolas Gendron a été un bon fermier. Il a laissé sa famille dans une situation financière normale pour l’époque. Marie-Marthe Hubert survit plus de seize ans à Nicolas Gendron, son époux. L’aïeule fut inhumée à Ste-Famille (I.O.), le 26 février 1688. Un mois plus tard, soit le 23 mars, les héritiers procèdent au partage des biens laissés par Nicolas et Marie-Marthe. Tu sais, Michel, dans notre région, les Gendron ne sont pas nombreux mais... je crois que l’on peut proclamer bien haut que la qualité l’emporte sur la quantité ! Louise B. Lafrenière
Sources : La
Presse
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