Ami(e)s de l’A.R.E.Q. 04-H

Non, non vous ne rêvez pas. Suite à la démission de notre président Alain Denis, pour des raisons personnelles incontestables, j’assumerai la présidence de notre secteur, par intérim, jusqu’à la prochaine Assemblée générale prévue pour le 6 mai 2004.

Merci, Alain, pour le professionnalisme, l’ardeur et le temps mis à la direction de l’A.R.E.Q. 04-H et sois assuré de notre bon souvenir. Que l’avenir soit, pour toi, rempli de toutes sortes de bonnes choses et en particulier de joie, de bonheur et de santé.

Assumer la présidence, par intérim, de notre secteur n’est pas un poids pour moi. Étant à ma quatrième année au sein du Comité directeur comme premier vice-président, j’en connais assez bien le fonctionnement. J’ai toujours eu à coeur le mieux-être de nos membres et je désire continuer dans la même direction et ce, jusqu’au 6 mai prochain.

Assumant la présidence par intérim, le poste de 1^re vice-présidence devenait libre. Merci à Réjean Martin d’accepter de prendre la relève jusqu’en mai.

Au mois de mai prochain, quatre postes seront à combler au sein du Comité directeur : la première vice-présidence, la secrétairerie et la trésorerie terminent leur mandat. Il nous faudra aussi élire un président pour compléter la dernière année du mandat. Plusieurs de nos membres ont les talents pour occuper une ou l’autre de ces fonctions. Ne soyez pas timides, foncez allègrement. Si chacune et chacun donnaient deux années, la relève serait assurée. Il en est de même pour chacun des comités de notre secteur.

Dans un autre ordre d’idées, même si le nombre de nos membres augmente, la participation aux différentes activités ne semble pas suivre le même élan. J’aimerais donc que vous me fassiez connaître vos attentes et, avec les autres membres du Comité directeur, nous essaierons de les combler. Il est important pour moi que toutes et tous vous y trouviez votre compte.

Bien sûr, certaines et certains me diront que la seule raison pour laquelle elles ou ils sont membres de l’A.R.E.Q. c’est de pouvoir conserver le droit d’accès aux assurances d’ASSUREQ. Qu’à cela ne tienne, tant qu’à payer une cotisation, aussi bien en profiter. Il en était d’ailleurs de même lorsque nous étions au travail. La cotisation syndicale était obligatoire.

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