Bienvenue à vous qui ouvrez ce journal !

Une salutation toute spéciale à nos nouveaux retraité(e)s, cuvée juin 2001 : Réjeanne Béland, Lucie Cossette, Nicole Diamond Lavaute, Claire Dubois, Lucille Houle, Gilles Goyette.

La retraite, on l’imagine comme un repos permanent où on ferait du surplace, où enfin, on mettrait un terme aux chevauchées. Ne plus rien faire. Ne plus avoir à faire quelque chose. Ne plus avoir de portes à ouvrir, de défis à relever. Voilà ce dont on rêve de la retraite.

Se bercer. Figer le temps. Arrêter la course en avant. Toutes ces images ont accompagné nos pensées.

Cependant, la retraite n’ouvre pas sur un terminus, mais sur un carrefour. À cet arrêt obligatoire, une multitude de routes inconnues se présentent et de nouvelles portes doivent s’ouvrir, du moins celles dont on a envie de franchir le seuil.

La retraite doit-elle être le but final de la vie ?

L’expérience " enseigne " qu’il faut donner une chance supplémentaire à sa vie et se convaincre qu’elle peut être autre chose qu’une ligne droite, qu’une trajectoire unique.

À compter d’aujourd’hui, tu es libre de tourner à ta guise, de fureter, de découvrir, de tenter autre chose.

Les anciens, vous en avez l’expérience : La vie et les activités ne s’arrêtent pas, elles sont différentes.

En cette année du 40^e anniversaire de notre Association, jetons un œil différent sur notre vie au cœur de l’AREQ et vivons-la activement. Participons aux projets de notre secteur et rappelons-nous Laure Gaudreault qui dans le passé a préparé notre AVENIR.

40 ans

de vie associative

« un passé riche d’avenir »

Lise R. Dupuis

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