Mes compagnes et moi tenons à remercier toutes les personnes qui se sont impliquées pour « notre 6 mars », ne serait-ce que par leur indispensable présence.

Pour les absents, voici un aperçu de la journée :

- Historique du Comité de la condition des femmes depuis madame Laure Gaudreault fait avec brio par Mme Nicole Talbot, responsable provinciale.

- Présentation du thème du 8 mars 2007 : « Toute l’égalité, l’égalité pour toutes… Mission inachevée! »

- Explication des trophées perpétuels 8 mars, initiative de l’AREQ 04-H, remis par la TCMFM à 5 organismes de la Mauricie lors de la Journée internationale des femmes, le 8 mars de chaque année.

- Conférence sur l’hypersexualisation des petites filles par Mme Lilia Goldfarb du Y des femmes de Montréal.

- Conférence  sur la publicité sexiste par Mme Josée Quenneville de La Meute-Médiaction.

- Hommage à Mme Mariette Gélinas, présidente provinciale, pour son implication au sein du Comité condition féminine, ponctué de témoignages touchants et chaleureux de quelques-unes de ses amies, suivi de la remise du tableau « Condition féminine au fil des saisons » et d’une plume personnalisée.

- Remerciements à toutes les bénévoles du comité depuis 15 ans.

- Spectacle varié et humoristique par des membres de l’AREQ de différents secteurs.

- Toute cette programmation entourait un succulent repas dans une atmosphère festive et conviviale.

Autres activités

Même si cette journée a mobilisé les troupes, certaines responsables ont organisé une autre activité dans leur secteur.

À Cap-de-la-Madeleine, Mmes Odette Groleau et Reine Toupin ont invité les participants à un déjeuner à se pencher sur le contrôle des armes à feu. Elles ont suscité des questionnements, transmis de l’information, provoqué des réflexions et offert quelques réponses grâce à leurs nombreuses recherches. Voilà une façon originale de souligner la « Journée québécoise contre  la violence faite aux femmes » (6 décembre).

En février, à Shawinigan, Mmes Denise Beauregard et Lucie Pelletier Bordeleau ont sensibilisé leurs membres au sujet de l’hypersexualisation des petites filles alors que Mme Isabelle Boisly, chercheuse et auteure, a dressé un tableau de la situation.

Il me faut aussi mentionner l’implication des responsables sectorielles auprès des groupes de femmes de leur région. Cette collaboration est enrichissante pour toutes.

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