Les cinq premiers enfants ont leur acte de baptême inscrit à Notre-Dame de Québec dans le même registre que l’acte de mariage de leurs parents.  Les autres ont été, probablement, baptisés à Sainte-Anne.

 

Le 2 février 1660, Giguère et sa famille sont confirmés par Mgr de Laval.  L’ancêtre est, depuis deux ans, marguillier en charge de sa petite paroisse, fonction humble qu’il exerce avec une grande application selon des chercheurs.  Deux de ses fils occuperont aussi cette fonction : Joseph en 1708 et Étienne en 1711.  Puis, c’est le silence.  Les mariages des enfants jalonnent les dernières années du couple.  En 1704, Robert et Aymée se donnent à Joseph qui leur assure le nécessaire pour le reste de leurs jours.

 

Robert s’éteint à l’âge de 93 ans en 1712 tandis que sa femme, Aymée, meurt le 10 décembre 1713 à l’âge d’environ 78 ans.

 

Notre Giguèrerie

 

Plusieurs descendants Giguère se sont installés dans notre région notamment à Louiseville, à Ste-Ursule, à Yamachiche, à Maskinongé et aussi à Saint-Alexis-des-Monts.  Natif de Ste-Ursule, Paul Giguère, fier descendant de cette belle lignée, a fait carrière  à l’école secondaire L’escale comme professeur de soudure et comme enseignant auprès des élèves en difficultés.  Depuis quelques années, Paul s’adonne avec succès à l’horticulture.  Il faut voir ses magnifiques plates-bandes ainsi que son spectaculaire jardin d’eau.

                               « Salut p’tit frère»

 

Louise B.Lafrenière

 

Sources : Nos racines     # 14 

Nos ancêtres  Volume # 2

Portraits de familles pionnières

 

 

Noël n'est pas un jour ni une saison,

c'est un état d'esprit

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