Un bel été… culturel

Quel bel été qui n’en finit d’ailleurs pas de finir !

Et quel plaisir de le vivre au Québec avec toutes les possibilités de sorties qui sont offertes.

·        La musique : Comment ne pas parler du Festival de Lanaudière ?  Joliette, c’est presque la porte d’à côté.  On peut s’installer sur le gazon avec sa chaise et son pique-nique et profiter ensuite d’un concert de qualité.  Quand la lune s’en mêle et se lève au-dessus de l’amphithéâtre, les mots font défaut.

·        Le théâtre : Tout un éventail de spectacles d’été.  Il y en a pour tous les goûts.  Un petit exemple : « Du sang bleu dans les veines » de Georges Dor : un petit bijou d’humour fin et de jeux de mots.

·        Le cinéma : Même Ciné-Campus se met de la partie et offre des représentations en plein air à l’Île St-Quentin.  Là aussi, on apporte sa chaise, son souper et l’on regarde ensuite un film comme Les Choristes ou La Grande Séduction.  Excellent pour le moral !

·        La culture… cultivée : On ne peut passer sous silence les jardins du Québec.  Il existe d’ailleurs un joli bouquin qui s’intitule : « Guide des jardins à visiter au Québec ». Un choix presque au hasard, le jardin Joly-De-Lotbinière, sur la rive sud vers Québec.  Un plaisir parmi tant d’autres pour les yeux et… le nez.  Là aussi, on peut amener son pique-nique.  Il suffit de descendre le petit chemin jusqu’à notre fleuve, il y a là une plage à donner des idées aux plus sages…

·        Pour terminer, la culture au naturel.  Un autre bouquin intéressant : « Guide des chutes au Québec ».  Neuf d’entre elles ont été répertoriées en Mauricie.  Il s’agit bien sûr de celles de Ste-Ursule, également  des rivières Bostonnais et Batiscan. Des idées de balades dynamisantes.

Voilà quelques suggestions pour passer un merveilleux été au Québec… l’an prochain.  De quoi faire saliver bien des touristes, même parisiens !

Anne-Marie Liber

SUGGESTIONS DE LECTURE

J'aime ce qui me nourrit: le boire, le manger, les livres... La Boétie

À part Da Vinci, voulez-vous bien me dire ce qui se lit par les temps qui courent... Ne reculant devant aucune dépense, je me suis déplacé jusqu'à Terrebonne (le Vieux) interroger Anne-Marie et Johanne Lincourt, propriétaires de la librairie Lincourt (fallait s'y attendre).

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