Comme prévu, le congrès bi-annuel de l’A.R.E.Q. qui n’a pu être terminé l’an passé, faute de temps, se continuera en juin prochain. Le principe d’un congrès par délégation ayant été retenu, nous n’avions pu nous entendre sur le dit genre de délégation. Le prochain "Quoi de neuf ?" vous fera connaître différents modes de délégation et nous aurons à trancher pour l’une ou l’autre des options proposées.

De plus, depuis quelques années, notre Association ne compte plus dans ses rangs que des enseignantes et enseignants mais de plus en plus d’autres professions, comme des infirmières et des infirmiers, des monitrices et des moniteurs de garderie, etc... Donc notre nom, Association des retraitées et retraités de l’enseignement du Québec, ne convient plus pour représenter nos membres. Nous sommes donc à la recherche d’un nouveau nom.

Compte tenu que le sigle A.R.E.Q. commence à être mieux connu, il serait regrettable de le changer. Alors, il faudrait trouver un nom qui pourrait garder le même sigle. Comme nous étions toutes et tous des employé(e)s de l’État, nous pourrions, selon mon opinion personnelle, nous appeler l’Association des retraitées et retraités de l’état du Québec et ainsi nous pourrions garder le même sigle. Un sondage sera fait lors de notre assemblée générale et, pour celles et ceux qui n’y seront pas, vous pourrez me faire connaître votre opinion soit par téléphone ou par courriel.

Un compte rendu des délibérations du congrès vous sera fait dans l’édition de septembre de notre journal.

Ce dossier avance lentement. Compte tenu que nous n’avons aucun pouvoir de négociation, nous devons donc nous fier aux actifs pour acheminer notre demande. Nous avons réussi à harmoniser les trois grandes centrales et les deux grands syndicats pour une demande commune qui est de négocier une indexation pour les années de 1982 à 1999, suivant le principe de l’indice des prix à la consommation (IPC) moins 3%, minimum 50%.

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