Cher Gaston, Je ne pouvais passer sous silence, tous les bons moments que j'ai passés à tes côtés au sein du Comité directeur. Aussi, ayant eu vent du contenu des textes-hommages qui ont été lus précédemment, textes dont je confirme la véracité des propos, j'ai tenté dans le mien, peut-être un peu plus ludiquement, te rappeler un autre moment que tu vis présentement et pour lequel j'ai ressenti bonheur et admiration pour toi, quand je l'ai appris. J'ai donc donné un thème à mon texte pour encore mieux t'exprimer mes sentiments. À GASTON, UN COLLÈGUE QUE J'AIME BIEN !
Au Comité directeur du temps, tu étais cher Gaston, la COQUELUCHE du groupe à cause de ton "job". La preuve, on en a mis du temps avant de trouver la relève. (Heureusement, les femmes sont encore là pour sauver les hommes.) Enfin, tu réalises aujourd'hui que les COQUELETS ne sont pas toujours ceux qui acceptent les responsabilités intransigeantes. Tu mérites donc d'être aujourd'hui, notre COQ EN PÂTE.
En plus, tu exposes en même temps que le COQ DES CLOCHERS de la région de Nicolet, Maurice Richard, peintre. J'espère qu'il te paiera un COQ AU VIN pour la St-Valentin en reconnaissance de l'originalité et la beauté de tes sculptures.
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