L’étranger d’Albert Camus.
À la recherche du temps perdu
de Marcel Proust.
Le procès
de Franz Kalka.
Le petit prince
de Saint-Exupéry.
La condition humaine
d’André Malraux.
Voyage au bout de la nuit
de Louis-Ferdinand Céline.
Les raisins de la colère
de John Steinbeck.
Pour qui sonne le glas
d’Ernest Hemingway.
Le grand Meaulnes
d’Alain-Fournier.
L’écume des jours
de Boris Vian.
Le deuxième sexe
de Simone de Beauvoir.
En attendant Godot
de Samuel Beckett.
L’être et le néant
de Jean-Paul Sartre.
Le nom de la rose
d’Umberto Eco.
L’archipel du Goulag
d’Alexandre Soljenitsyne.
Paroles
de Jacques Prévert.
Alcools
de Guillaume Apollinaire.
Le lotus bleu
d’Hergé.
Journal
d’Anne Frank.
Tristes tropiques
de Claude Levi-Strauss.
Le meilleur des mondes
d’Aldous Huxley.
1984
de George Orwell.
Astérix le Gaulois
de Goscinny et Uderzo
La cantatrice chauve
d’Eugène Ionesco
Trois essais sur la théorie sexuelle
de Sigmund Freud.

L’oeuvre au noir de Marguerite Yourcenar.
Lolita
de Vladimir Nabokov.
Ulysse
de James Joyce.
Le désert des Tartares
de Dino Buzzati.
Les faux-monnayeurs
d’André Gide.
Le hussard sut le toit
de Jean Giono.
Belle du Seigneur
d’Albert Cohen
Cent ans de solitude
de Gabriel Garcia Marquez.
Le bruit et la fureur
de William Faulkner.
Thérèse Desqueyroux
de François Mauriac.
Zazie dans le métro
de Raymond Queneau.
La confusion des sentiments
de Stefan Zweig.
Autant en emporte le vent
de Margaret Mitchell.
L’amant de lady Chatterley
de D.H. Lawrence.
La montagne magique
de Thomas Mann.
Bonjour tristesse
de Françoise Sagan.
Le silence de la mer
de Vercors.
La vie mode d’emploi
de Georges Perec.
Le chien des Baskerville
d’Arthur Conan Doyle.
Sous le soleil de Satan
de Georges Bernanos.
Gatsby le magnifique
de Francis Scott Fitzgerald.
La plaisanterie
de Milan Kundera.
Le mépris
d’Alberto Moravia.
Le meurtre de Roger Ackroyd
d’Agatha Christie.
Nadja
d’André Breton.

Je termine en citant les propos de Beigbeder en fin de préface. (P. 16) :

"Que cherchons-nous dans les livres ? Notre vie ne nous suffit donc pas ? On ne nous aime pas assez ? Nos parents, nos enfants, nos amis et ce Dieu dont on nous parle ne sont pas assez présents dans notre existence ? Que propose la littérature que le reste ne propose pas ? Je n’en sais rien. C’est pourtant cette fièvre que j’espère inoculer à ceux qui auront ouvert cette préface par mégarde, et commis l’erreur de la lire jusqu’au bout. Car je souhaite de tout mon coeur qu’il y ait encore des écrivains au XXIe siècle.
  
                                                                                                                                         F.B.

Bon, heureux et chaleureux été,
bienheureuses et bienheureux
liseux...
            euh...
                                  lectrices
♥♥

Daniel Béland

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