D’après les recherches effectuées à date, il semble que Jean Leclerc était le troisième enfant de Jean Leclerc et de Pérette Brunet (ou Brunel) de la paroisse de St-Rémi de Dieppe. Il aurait reçu le baptême le 24 août 1635 à cet endroit. Les parrains ayant été Nicolas Forlhomme et Marguerite Lecomte. (Ce renseignement a été communiqué par Jean Leclerc D’Orléac, de Villeneuve-sur-Lot, Lot et Garonne, France.)

Contrairement à la majorité des immigrants de cette époque, Jean Leclerc est venu au Canada déjà marié. Il avait épousé Marie Blanquet vers 1657. Elle était la fille unique d’Adrien Blanquet qui était veuf à son arrivée au pays.

Partis de Dieppe, Jean et Marie arrivent en Nouvelle-France vers 1660. C’est le 10 août 1662, par devant notaire Paul Vachon, que Jean Leclerc obtient de Mgr Laval, une concession seigneuriale à l’Ile d’Orléans.

Jean Leclerc et Marie Blanquet furent les parents de neuf ou dix enfants selon les recherchistes.

Le premier recensement fait au Canada en 1666, nous dit que Jean Leclerc est tisserand en toile. Cet ancêtre a contribué activement au progrès de la nouvelle colonie dans le domaine vestimentaire car, de tisserand en toile qu’il était en1666, on le retrouve maître bottier en 1680. Ainsi en témoigne le contrat de mariage suivant : « Jacques Bouffard avec Anne Leclerc fille de Jean Leclerc, maître bottier, et de Marie Blanquet, le 25 février 1680 »