Permettez que, cette fois-ci, je puise, dans mon volumineux courrier, des suggestions très intéressantes. Elles prendront d’autres couleurs, nous amèneront vers d’autres rivages tout en apportant même enchantement.

Une charmante lectrice me fait part de ses lectures les plus goûtées :

SUYIN, Han, Jusqu’au matin, éditions internationales Alain Stanké Ltée, 573 p.
WOOD, Barbara, Le retour de Déborah, Presses de la Cité, 1988,
880 p.
HUCHET, Isabelle, L’étoffe d’une femme, J.C. Lattès, 2000, 380 p.
L’amour, surtout l’amour. Elle ajoute : « J’aime beaucoup les livres d’Isabelle Allende et de Janine Montupet.»

Autre missive. Un lecteur nous propose d’explorer la fiction de Robert Ludlum dans « La Mémoire dans la peau », chez Laffont, 1981, 465 p. Frissons assurés.

Pour l’évasion, vive Larry Collins et « La Fortitude », chez Laffont, 1985, 509 p. nous assure une lectrice assidue. De plus, elle convie les mordus à partager son engouement pour les biographies. Il faut lire, dit-elle, le « Journal », de Julien Green (16 volumes), chez Seuil, Fayard et Plon.

« Un régal, promis ! » m’écrit une lectrice concernant le roman « Le Chardon et le Tartan » de Diane Gabaldon où, ajoute-t-elle, la romance et l’histoire s’entrecoupent, s’entrecroisent, s’entrechassent, s’entremêlent, s’entrelacent de merveilleuse façon. Faites vos valises et voyagez cet été avec Claire Randall, l’héroïne du roman « Le Chardon et le Tartan » dont l’action se situe dans la tumultueuse Écosse du XVIII^e siècle.

Je remercie les lecteurs et lectrices de leurs invites.

        Allez, bon été, plongés dans les pages d’un bon livre...

Daniel Béland

Nous vous souhaitons de bonnes vacances,

Le Comité culturel

13