LA PRESSION ARTÉRIELLE
Dans le cas d’un athlète ou d’un sportif bien entraîné, les chiffres de la pression artérielle peuvent être beaucoup plus bas que ceux qui viennent d’être mentionnés. Ceci s’explique par le fait que ces individus présentent des artères particulièrement souples. Lorsque que le coeur chasse une ondée sanguine dans les artères, celles-ci se laissent assez facilement dilater. La tension artérielle n’est donc pas élevée. Si la pression systolique (au moment de la contraction du coeur) se situe entre 130 et 139, on dira qu’elle est à la limite de ce qui est acceptable. Dans le cas de la tension artérielle diastolique (au moment où le coeur se repose), on dira que la tension est à la limite de ce qui est acceptable, si elle se situe entre 85 et 89. La tension artérielle systolique sera considérée comme trop élevée si elle dépasse le chiffre de 140. Quant à la tension diastolique, elle sera considérée comme trop élevée si elle dépasse le chiffre de 90. Tel que spécifié plus haut, la tension artérielle se mesure en millimètres de mercure. Elle consiste tout simplement à évaluer, à l’aide d’un sphygmomanomètre, la hauteur d’une colonne de mercure. De nos jours, les sphygmomanomètres à colonne de mercure ont pratiquement disparu au profit des appareils électroniques. Mais les chiffres qu’on obtient correspondent toujours, par analogie, à une colonne de mercure. Source : Journal de Montréal 15 |
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