GÉNÉALOGIE

 

Les PAQUIN

Pour revendiquer le droit de s’appeler « PAQUIN », il fallait, dit-on, posséder de bonnes étendues de terre consacrée aux pâturages. De ce fait, on comprend que le premier porteur du patronyme PAQUIN soit issu du terroir où il met ses pâturages en valeur. Cela se passe au XIIIe siècle à l’époque où nos ancêtres décident de se caractériser par d’autres noms que leurs noms de baptême. Le nom PAQUIN se stabilisera rapidement vers la fin du XIIIe siècle.

D’après les documents mis à jour par des généalogistes, c’est en Normandie en 1648 que l’on retrace l’existence de l’ancêtre PAQUIN.

 

NICOLAS PAQUIN au CANADA

L’origine des familles Paquin en Nouvelle-France date de 1672 avec l’arrivée de Nicolas Paquin, ancêtre commun des familles Paquin.

Nicolas est le fils de Jean Paquin et de Renée Frémont de la paroisse de la Potherie en Normandie. Il vient au pays à la demande de Jean Deschamps qui recherche des menuisiers pour son fils François, sieur de la Bouteillerie (nom de sa grand-mère). Nicolas arrive en Nouvelle-France à l’été 1672 sur le St-Jean-Baptiste. Il reste trois ans au service du seigneur de la Bouteillerie de la Rivière-Ouelle où il exerce son métier de menuisier. À l’expiration de son contrat de trois ans, à l’automne 1675, il s’établit sur la côte de Beaupré, probablement à Château-Richer, où il travaille à la construction de l’église car il est qualifié maître-menuisier.

C’est dans ce coin de la Nouvelle-France qu’il rencontre la femme de sa vie. Le 20 octobre 1676, Nicolas Paquin passe son contrat de mariage avec Marie-Françoise Plante devant le notaire Vachon. Marie-Françoise Plante, née en 1655, est la fille de Jean Plante et Françoise Boucher. Le couple s’installe à proximité de la famille Plante.

Vers 1679, le couple s’établit sur une terre dans la paroisse de Sainte-Famille de l’Ile d’Orléans. C’est là que Marie-Françoise et Nicolas  élèvent  leur famille.

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