Enfin, l’AREQ a officiellement célébré le 50e anniversaire de sa fondation. Cet événement a été souligné de plusieurs façons, à commencer par le lancement des Bourses de l’AREQ pour le soutien à la formation. Les festivités s’échelonneront jusqu’à l’Assemblée générale régionale le 31 mai 2012 à Victoriaville.

« En 2012, l’AREQ continuera plus que jamais à prendre une part active aux grands débats sociaux, à changer certaines perceptions envers les personnes aînées et, bien sûr, à œuvrer à l’amélioration des conditions de vie à la retraite », a conclu Mariette Gélinas, présidente régionale.

Profil de l’AREQ

Fondée en 1961, l’AREQ compte plus de 55 000 membres, dont 5700 dans la région Cœur et Centre-du-Québec. Elle est affiliée à la Centrale des syndicats du Québec (CSQ).

 

« 50 ANS D’HISTOIRE, REFLET D’UN AVENIR PROMETTEUR »

C’est sous ce thème que les 55 000 membres de l’AREQ (Association des retraitées et retraités de l’éducation et des autres services publics) soulignent, cette année, les 50 ans d’implication citoyenne des membres. L’Assemblée générale régionale, le 31 mai 2012 à Victoriaville, rappellera l’histoire de l’AREQ, au fil des ans.

Le 24 novembre 1961, Laure Gaudreault avec 295 personnes mettait sur pied une Association qui allait devenir la plus importante association québécoise de personnes retraitées des services publics. Notre région, Cœur et Centre-du-Québec, compte près de 5700 membres dont plus de 50% sont bénévoles et 30% exercent, volontairement ou non, le rôle de personnes proches aidantes. C’est donc dire qu’à la retraite, il n’y a pas de congé pour la citoyenneté ! Merci à toutes les personnes qui, par leur contribution, apportent « un plus » à la société.

Les conditions de vie des personnes aînées et retraitées et de la population en général préoccupent les membres aréquiens. L’AREQ revendique un système de santé public, accessible à toutes et à tous, surveille les critères mis en place dans les centres d’hébergement publics et privés, préconise des soins rapides et adéquats que ce soit à l’hôpital, au domicile ou en centre d’hébergement. Le gouvernement doit garder la main mise sur les services afin qu’ils demeurent publics tant en santé qu’en éducation : c’est une question de justice et d’équité pour toute la population québécoise.

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