Merci à Claude Blais qui a su nous rassurer et orienter le scénario du déroulement de la journée.

Merci à Anne-Marie Liber qui nous a permis d’entrer en contact avec différents organismes, et particulièrement, Fondation-Rivières.

Grand merci à Réjean Martin qui a été un collaborateur et un partenaire exceptionnel. Je puis affirmer que Réjean, comme l’eau, est une ressource énergisante.

Passez un bel été.

Rémi Beauclair, responsable

CONDITION DES FEMMES

Lors d’une récente formation à Drummondville, j’ai reçu copie du texte d’une conférence donnée le 8 mars 2010 « Journée internationale des femmes » par madame Diane Guilbault, invitée à la CDC Drummond.

Je laisse l’auteure du livre « Démocratie et égalité des sexes » alimenter votre réflexion à partir de quelques extraits de son exposé « Féministes de mères en filles ».

« L’histoire des femmes et du féminisme est comme une immense courtepointe qui ne finit jamais et dont le patron final peut différer de l’intention de départ.»

« Le féminisme, pour moi, c’est d’abord une vision du monde, un monde dans lequel hommes et femmes sont égaux, en droits, mais aussi en dignité et réalité. C’est une vision humaniste, démocratique, qui souhaite dépasser des millénaires de culture et de civilisation qui ont infériorisé les femmes, en ont fait la propriété des hommes et qui les ont fait vivre en marge de la société.»

« Le féminisme, c’est la volonté de mettre fin aux discriminations contre les femmes, contre le sexisme omniprésent, contre la ségrégation des espaces publics et privés, contre les marquages physiques et symboliques imposés aux femmes, sous toutes sortes de prétextes, contre l’exploitation sexuelle des jeunes filles et des femmes.»

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