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Ce que je retiens de la rencontre des 53 hommes réunis à Québec pour réfléchir à la mise sur pied d’un Comité de la Condition des Hommes au sein de l’AREQ ? Je retiens qu’il ne faut surtout pas devenir « papa-parano », « père-persifleur » mais plutôt et de préférence, AUTONHOMME… Me reviennent à la mémoire, les nombreuses questions soulevées : - Un homme a-il-le droit d’éduquer un enfant ? - Les hommes reçoivent-ils la reconnaissance méritée ? - Pourquoi les hommes ressentent-ils un malaise quand ils osent s’affirmer comme mâle décideur ? - Les hommes sont-ils des pleurnichards ? - Pourquoi les hommes se cachent-ils pour pleurer ? - La « grippe d’homme » est-elle un fait ou un mythe ? - Les activités strictement masculines ont-elles leur raison d’être ? - Lequel des quatre verbes suivants –parler, parler, parler, parler- facilitera le retour à la fierté d’être un homme ? - Les garçons du primaire, du secondaire, du collégial, de l’université manquent-ils de modèles masculins ? - La presse, la télé, le cinéma projettent-ils une image positive de l’homme ? - Les hommes ont-ils besoin d’aide ? - Les hommes ont-ils le droit à la différence? - Pourquoi les hommes n’ont-ils pas leur « MAISON »??? - L’AREQ accorde-t-elle autant de place, autant d’importance aux hommes qu’aux femmes ? En guise de conclusion, j’ajouterai une dernière question : les hommes de l’AREQ ressentent-ils le besoin d’un Comité de la Condition des Hommes ? Les hommes de l’AREQ perçoivent-ils l’urgence de créer un regroupement des hommes? Au point de s’impliquer, de s’y engager ? « That is the question » ou plutôt c’est LA condition pour que l’homme retrouve la fierté d’être un mâle et non un mal…nécessaire. Daniel Béland,
Responsable (et fier de l’être) 6 |
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